Auping innove constamment, aussi bien au niveau du design qu’en matière d'ergonomie et de durabilité. Prendre soin de l'environnement est essentiel et c'est ce que nous faisons. Depuis le printemps 2020, nous portons fièrement le label 'Certified B Corporation'. Chacun contribue à sa manière à rendre le monde un peu plus durable. Auping le fait de multiples façons, notamment en optant pour une approche circulaire. Cela signifie que nous réutilisons les matières autant que possible, alors que nous visons une réduction maximale de la consommation en énergie et de la production de déchets. Notre ambition ? Une gamme de produits entièrement circulaire d’ici 2030.
Recyclage, upcycling, downcycling et circularité. Plusieurs définitions s’appliquent quand on parle de matelas durables. Tellement même, que si vous tentez de les retenir toutes, vous risquez d’en perdre le sommeil. C’est pourquoi nous vous proposons une explication simple de ce sujet complexe.
Le recyclage est le terme parapluie sous lequel s'inscrivent diverses formes de réutilisation. L’upcycling est une forme de recyclage utilisant un matériau de faible qualité pour fabriquer quelque chose de haute qualité. On pense par exemple aux déchets plastiques à partir desquels les grandes marques sportives fabriquent des baskets ou aux matelas dont le coutil est en plastique ‘océanique’.
Le downcycling est une forme de recyclage réutilisant le matériau une ou deux fois dans un produit de faible qualité. La mousse de la couche de confort des matelas est par exemple réutilisée pour la fabrication de tapis de judo, sous-tapis ou isolation acoustique. Ce qui a un effet positif car le matelas ne se retrouve pas directement à la décharge. Néanmoins, après cette nouvelle vie en tant que tapis, les composants du matelas finissent quand même à la décharge. Et c’est vraiment dommage.
La circularité est la forme la plus élevée de recyclage. Tous les matériaux du produit peuvent être réutilisés à l'infini. Ils peuvent être recyclés encore et encore en conservant le même niveau de qualité. Ainsi, le cercle reste fermé, il n’y a aucune perte valeur ni aucun gaspillage. C’est ce qu’on appelle la circularité. La circularité s’envisage donc dès la conception du produit. Et c’est exactement ce que fait Auping.
Dans l’univers de la durabilité et de la circularité, on emploie souvent certains termes précis. Mais que signifient-ils au juste et dans quel contexte sont-ils utilisés ?
Empreinte
Dans le contexte de la durabilité, une empreinte (footprint) correspond aux conséquences engendrées pour le monde. On a choisi ce mot car une empreinte est une trace visible du passage de quelqu’un. Par analogie, une empreinte environnementale représente l’impact d’une organisation sur les autres, la nature, les générations futures et le monde. Plus l’empreinte est petite, mieux c’est.
Labels de gestion responsable des forêts
Sur base annuelle, cela revient à 16 millions d’hectares, soit quatre fois la superficie des Pays-Bas. La déforestation est annuellement responsable d’environ 15% des rejets en CO₂ et joue donc un rôle dans le dérèglement climatique. Par ailleurs, 80% de la faune mondiale dépendent des forêts, tout comme des millions de gens qui vivent ou travaillent en forêt (Source : FSC). Pourtant, la gestion forestière n’est pas réglementée par une législation internationale. Il existe donc à travers le monde différents systèmes pour en garantir la durabilité. Les deux plus importants se nomment FSC et PEFC. Ils ont le même but, mais suivent un chemin différent pour y parvenir.
Certification FSC
Le FSC, abréviation de Forest Stewardship Council, est une organisation internationale. Le système FSC s’attache à garantir une gestion responsable des forêts au niveau mondial, en prenant en compte de manière équilibrée les aspects écologiques, sociaux et économiques liés à la gestion des forêts. Le système veille notamment à ce que:
Certification PEFC
PEFC signifie Programme for the Endorsement of Forest Certification et l’organisation poursuit le même objectif que le FSC. Les différences entre ces deux labels portent notamment sur le processus décisionnel et la méthode de réglementation de la certification. Le FSC définit ses propres normes et pour obtenir la certification, le propriétaire forestier doit démontrer qu’il y satisfait (top-down). Le PEFC se base sur la législation et la réglementation existante, complétée par des critères et des normes spécifiques à la gestion responsable des forêts (bottum-up). Naturellement, la norme doit correspondre à l’échelle de valeur du PEFC. Le plus important, c’est que les deux labels s’attachent à garantir une gestion forestière durable et travaillent à agrandir la superficie mondiale de forêts certifiées. Car la lutte est encore loin d’être gagnée.